Biographie de l’artiste
La galerie Artiane a accompagné les premiers pas de Bernard Saint Maxent sur le marché de l’art dès 2000, notamment à Bruxelles, et tient à saluer ici l’indéfectible fidélité de l’artiste à son égard! Aujourd’hui de nombreuses galeries internationales valorisent cet artiste autodidacte. Metteur en scène de son personnage, sa créativité innovante et son engagement lui ont permis d’évoluer librement. Promesse tenue d’une œuvre d’envergure, une signature sans conteste dynamisée par une sacrée joie de vivre.
Un mix peinture sculpture
Incomparable, cette œuvre sort des murs! C’est un clin d’œil permanent à la bonne humeur, ludique si ce n’est provocante, toujours souriante. Sculpteur avant tout, Bernard Saint Maxent se fait aussi plaisir, et pour le notre certes, en réalisant quelques sculptures en bronze. Chaque pièce est numérotée comme il se doit, pièce unique dans leur patine.
Complicité
Doux rêveur allongé sur le monde comme s’il regardait les astres “totale détente”, joyeux drille enjambant le monde comme si vivre n’était qu’un jeu “Jump”, sont autant d’auto-portraits ! Enfin sur commande, installations urbaines et mises en scènes ont vu le jour. Avec l’écoute personnalisée et attentive de la galerie, et la complicité sans faille de l’artiste:
« Mon art se doit d’être une machine à plaisir » avance pudiquement l’artiste.
Sortir du cadre
On peut facilement l’inculper de ce parti-pris heureux : l’amour, la vie, l’entraide, la complicité, l’intersubjectivité, la simplicité du bonheur comme choix de vie sont les thèmes récurrents de ces tableaux-sculptures. Son personnage loufoque, voir baroque, sculpté dans la résine et patiné de bronze ou d’argent, vient animer la scène. Il sort ainsi du cadre dans un beau relief structuré, maitrisé. La dernière collection de Bernard Saint Maxent s’est adaptée au style du jour. Le nouveau support est une découpe de plaque métallique pour un support ultra moderne.
Réflexion par le plaisir
L’artiste progresse librement tant par le choix de nouveaux matériaux qu’en intégrant des fonds Street où les mots se devinent dans le graphisme. C’est à Siméon, 11 ans, qu’il offre toute sa complicité de père pour réaliser les premiers tableaux à 4 mains. On l’a dit, son inspiration puise dans les scènes burlesques de Buster Keaton et de Charlie Chaplin, mais plus encore dans l’actualité et la pub, confrontant les paradoxes de la vie moderne avec ses propres points de vue.
Bernard Saint Maxent estime que l’art devrait être associé avec une légèreté de l’être, et qu’il devrait nous conduire à la réflexion par le plaisir.
Sources:
- Page Pinterest de Bernard Saint Maxent
- Interview filmé de l’artiste
- Article (anglais) sur CrossConnectMag
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